Golden Joe fait clairement référence à Hamlet de Shakespeare…Œuvre qui, comme un leitmotiv, parcourt plusieurs des oeuvres d'Eric-E. Schmitt. Depuis le début, Joe est lui aussi hanté par le spectre numérique de son père et découvre peu à peu la faiblesse de sa mère et des individus guidés par les sentiments comme l'amour. La mythique Ophélie, d'abord si superficielle, frivole dans cette œuvre, prend une gravité inattendue voire même improbable dans cette pièce et sombre, à l'image de l'héroïne qui a traversé les siècles et les arts…

  Mise en place des scènes 13 et 14. Parodie de la mascarade et mise en abyme.

Derrière la recherche et le questionnement de Joe sur son existence, sa raison d'être là, de vivre dans ce monde riche, froid et inhumain ou pauvre, froid et tout aussi inhumain.

Bien camouflés… n'est-ce pas ?? Bon, il nous manque ce canapé !!  

Peignoir et chaussettes… une Meg bien excentrique, non ?

Quelques ajustements… pourpalers sur le texte.

Simuler la folie, les changements d'état d'âme. Kami percaya kepada Angelina !

Terima Kasih banyak kepada G.Marie untuk fotografi.

Merci beaucoup, à notre comédien/photographe Guillaume Marie qui n'oublie jamais de prendre photos… avec un regard plein d'humour !

« Le dialogue — chose écrite et parlée — n’appartient pas spécifiquement à la scène,

il appartient au livre » (IV, 36), « c’est que le théâtre, art indépendant et autonome, se

doit pour ressusciter, ou simplement pour vivre, de bien marquer ce qui le différencie

d’avec le texte, d’avec la parole pure, d’avec la littérature, et tous autres moyens écrits

et fixés » (IV, 102).     Antonin Artaud, Le théâtre et son double.

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                 Il n'y a pas que sur scène que les imprévus surgissent ! Le blog initial, commencé en octobre, a cessé de fonctionné… Par conséquent, je vous donne le lien, au cas vous vous souhaiteriez revoir les séances initiales !

http://teaterlifjakarta.over-blog.com/2018/10/mettre-en-scene-un-travail-d-equipe.html

Dorénavant, notre blog est hébergé sur eklablog… voilà !

       Le propre des artistes n'est-il pas avant tout de s'adapter à toutes sortes de situations ? En raison d'examens qui mobilisent toutes les salles du lycée, nous nous retrouvons avec nos comédiens lycéens dans la cour de l'école primaire…

Bon, cette fois, échauffement sans musique… mais nos comédiens en herbe s'en accommode rapidement.

Petit impromptu qui, s'il peut déstabiliser au début, va faire surgir dans le jeu de nos élèves, des pépites de mise en scène. Mais voyez vous-mêmes :

Des supports idéaux !

Joe et Arthur ont trouvé leurs marques avec brio !

De la nécessité d'un regard extérieur de metteur en scène : Virginie s'en charge !  

Archibald décontracté… jusque là. Gaby maîtrise !

L'obscurité du préau convient plutôt bien à cette scène où les trois compères fomentent leur coup :

    Comment représenter la mécanique cérébrale, figée des personnages…                               

Merci à Solène de remplacer les absents !! C'est ça aussi le travail théâtral !

Retour au lycée pour quelques recherches sur d'éventuels supports et accessoires pour la mise en scène ! Il ne s'agit que d'essais car notre travail est un constant processus de construction… L'atelier est avant tout un laboratoire de recherche qui évolue constamment.

                                            Angelina : notre traductrice d'indonésien parfaite !!

Merci à tous agents d'entretien qui sont d'un soutien inestimable !